Prenez vous dans les bras, et aimez vous... comme des enfants!!!
C'EST ENFANTIN... et si simple...
"Tu sais, on en dit bien plus sur les ogres que ce qu'ils sont en réalité..
"Merci cher inconnu de laisser sur Internet
des sites pouvant rendre vraiment FOU"
Alors j'ai demandé
à un "ami" de m'en consoler.
Cet ami me fascinait: il était extrêmement social et aimé,
désiré de tous et avait tendance à fournir généreusement
bisous et accolades, avec la pureté d'un ange: il n'y avait pas d'ambiguïté dans ces dons et services...
Depuis des années, nous nous abordions pour échanger
mentalement sur le spirituel, la société et résoudre
le mystère
de la "connerie" des
"adultes": quelque chose coinçait, empêchait une communion, de rire, de
vivre, de partager, de communier avec ces êtres étranges, distants,
dans le devoir ou dans "un jeu" d'apparence... cela valait des études
de psychologie. Mais pourquoi
donc les adultes sont si coincés, pourquoi ils sont si peu curieux?
Et il y avait ça surtout chez mon ami, c'était sa promesse utime: jamais il ne ferait comme les autres,
à faire autant de chagrin à ses amis en les abandonnant tous
pour une copine... Je pouvais donc compter sur cet ami: il savait ce que
cela faisait car justement son meilleur ami avait rompu avec lui "sans raison" et se retrouvait
seul: il était donc peiné, et a quiité ses études de physique pour des études de psychologie.
Il était "courageux": me prendre dans ses bras pour que je pleure pour le même motif était si simple et si facile quand on aime ses amis et qu'on partage les mêmes sentiments... Alors il ne me dit pas NON et il l'a fait: il m'a ouvert ses bras... en remarquant que la psychologie, tout ça, c'est de la connerie..
Il y a eu un Miracle: j'ai crût, un moment, qu'il était
un AMI à qui tout confier, un Jésus (incarné) qui sauve et qui aide
et j'ai ressenti la présence d'un père, du Père..
et à ma grande surprise, avec un coeur d'enfant, c'était
Dieu.. (le père)... dans ses bras,
et cela a réparé beaucoup de choses liées au manque
de paternité.. (des allergies, des hallucinoses et persistances
à la musique, des crises d'angoisse de frustration violentes à
la vue du soleil depuis l'intérieur d'une pièce trop sombre, des "troubles psychotiques" en tout genre)
Cette phrase d'une pratiquante chrétienne est devenue... une évidence à ressentie, après quelques milliers de kilomètres à la rame..
Notre Père, met à la lumière un trait de ton passé. Il le fait remonter en surface pour le guérir et non l'effacer. C'est une blessure dont il cicatrise, mais qu'IL n'efface pas. Elle fait partie de toi et appartient à LUI Seul. Cette cicatrice, pansée et guérie, mais présente , visible qu'à toi, c'est l'empreinte de SON Amour que tu ne dois pas oublier.
"tu as fait une catharsis avec de l'Amour, un truc à surtout ne pas en parler à un psy".. m'a confié un autre témoin pratiquant d'hypnose.
Le mental avide de réponse devait apprendre un vocabulaire: avec difficulté: les mots ont en ce domaine un double sens, peut être même est ce leur caractéristiques principale. Quand au mot le plus fort, c'est bien le terme de connerie, le sens est profond, et jusqu'à l'os.
Le mot "catharsis" apporta beaucoup de notions clefs.. Globalement c'était ressentir au présent ce qui avait pas été pleinement ressenti, ou mal ressenti à tout moment de la vie et qui restait bloqué.
Manière de dire "conscience holotropique".. de l'oignon
de sa structure psychique.
des maux en pagailles donnat accès à des récits d'expériences transmettant un ressenti.
Traduction: La grâce de Dieu, dans les bras d'un jeune apprenti
en psycho.
L'Oignon était transparent et à éplucher..
Un oignon que j'épluchais en pleurant énormément...
car une couche est du ressenti accumulé à force de blocage
mental de non-acceptation: un FIRE WALL qui fonctionne avec son langa e
de programmation propre. On se construit semble t'il comme un
ordinateur: à chaque couche un support, matériel puis de plus en plus
subtil, et un langage symbolique associée à la possibilité de chaque
couche. Le mental n'est est qu'une parmis d'autre, pour le reste...
Ça ne se mentalise pas justement, ça
se ressent, et les pleurs sont de la colère évacuée
en tristesse et pleurs de soulagement dans la confidence ultime (enfin
acceptation): mourir de chagrin mais tout de même en vie, dans les
bras de son meilleur ami, de l'UNIQUE ami.. Dieu.. le père
Se confesser, se confier au Père, et en personne, corps et âme à un Jésus incarné de 90 kg 1m90, et qui malheureusement, pauvre humain damné qu'il fut par la vie avait bel et bien contracté, ange déchu sur terre...le diable , dans le ventre.
Alors j'ai pleuré ma vie serré dans ses bras, pour me consoler d'une telle tragédie, retrouvé l'Amour le plus grand de MA vie... et séduit par ce que j'ai pris pour un acte d'Amitié, d'Amour, je me suis révélé à moi même.
Là l'échange bloqua "le diable dans
le ventre" s'étant réveillé, et là nous avons découvert que notre amitié,
notre partage d'Amour "mystique" n'était que la conséquence
d'un service au nom de l'orgueil, perverti par un rachat de culpabilité,
sans conscience de coeur (interdite par la culpabilité) qui suivait
l'automate d'une
défense
psychologique (peur
dhomosexualité, mais pas seulement, si ce n'était que ça on aurait
baisé) exprimée en
gentillesse qui camouflait une servitude compulsive pour demander:
attitude de séduction alors associée
à un déni des besoins, du véritable besoin... Le tout se déroula sous
nos yeux et bel et bien en accord avec les test de
psychologie que l'ami rencontrait dans ses études et des problèmes
somatiques... La curiosité d'aller plus loin nous a permis de creuser
un peu plus et de tenter de communiquer encore, et sa copine
avait "peur de l'aimer" et lui était
"complètement coincé et impuissant": son problème
était le même que le mien, mais exprimé d'une façon
inverse par une personnalité construite sur la négation...
(ce qui a conduit mon ami à ne surtout pas l'exprimer et à me laisser
seul le soin de le faire, vous pourrez croire que tout n'est que
projections mentale, c'est fait pour, quand il ne reste plus rien
d'autre qu'un miroir)
Mon ami avait aussi besoin d'aide et notre échange, devenant mutuel pourrait réparer des profonds manques d'Amour, notre relation a révélé tout ce qui n'était PAS de l'Amour.
Alors, puisque nous (ensemble) n'étions pas prêt, nous avons tout fait
de travers... en cherchant de mon coté, à comprendre
pourquoi mon ami cherche lui à ne pas comprendre pourquoi.
Il a
fuit sans dire NON, mais sans rien confier et moi a tout dilapidé faute de pouvoir lui confier.
Et j'ai pleuré qu'il n'était pas vraiment un ami, pas
un Jésus, et après avoir perdu cet ami, pleuré de
découvrir l'éloignement de l'amitié, ici.. sur terre,
en ce monde où nous DEVONS être des adultes malgré
tout, pour "VIVRE" (avec des " ").
Mon ami a finalement fait l'amour avec sa copine, "guéri" de son
impuissance sexuelle, allait faire sa vie..
nous devions nous dire au revoir.. Nous voir: c'est précisément ce que
nous avons raté: nous avons été jusqu'au bout, une belle rupture
inavouée... Mais cela nous le savions à l'avance: c'est pour
éviter cela, qu'il était convenu de ne s'autoriser
cette visite que si on avait le temps de se pardonner et d'en
pleurer...
cela compliquait cette dernière rencontre qu'on a finalement raté
en beauté, dans la logique du suivi de la compulsion.
"Je sais que je fais les choses de travers, je n'ai jamais su faire quoi que ce soit correctement jusqu'au bout"
"Je ne sais pas, mais moi, quand quelque chose n'est pas fait correctement, je ne peux pas m'empêcher de chercher à comprendre pourquoi"
Tout l'enjeu était là.. d'abord axé sur notre amitiée, devenue une "thérapie" puis.. sur l'impossibilité, l'impuissance... de mettre FIN à notre relation, pour mettre fin à cette perversion d'une amitié désirée mais pas construite et damnée par "ce quelque chose qui sépare les adultes". s'accorder un moment important pour avouer a été impossible. Nous n'avons pas pu nous pardonner et du rompre après une tentative d'échange qui n'a que démontré l'emprise d'un type psychologique et la pertinence de l'ennéagramme (mais pas seulement: ensuite tout ce qui est le plus patholiques, les névroses, les psychoses et tout ce que la psychologie décri, puis la religion) pour décrire la fixation qui découle de la compensation du déni d'affectif.. du déni de ses besoins réels...
(attention! ennéagramme
= un outils de secte car outil de pouvoir: le mieux que vous puissiez faire
c'est d'être renseigner avant ceux qui pourraient utiliser ces connaissances
pour vous éblouir)...
Le diable...
Et quand bien l'ami l'a constaté et acquiescé, avec une décision de s'accorder un espace-temps pour travailler ENFIN là dessus, ça n'a pas mieux marché.. On s'est bien fait chier...
Puisse que le récit de cette expérience, ce témoignage
et cette "étude" ici faite, vous ouvre des pistes pour vous... qui
pourriez rencontrer l'illusion d'Amitié et du coup... l'Amitié..