Le diable... a 3 cm sous le nombril (chacra orange), dans le ventre
d'un non-Jésus, infidèle et faux, qui se sauve (sans dire
NON)
c'est bête..
LA BÊTE!!! Qui se cache..
"Je vois. Je l'ai lu en deux fois, mais je vois
JE me vois totalement, tu m'as mis en plein jour..
Je ne sais que dire..."
Oui, effectivement, je ne t'ai pas écrit
de la semaine, c'était voulu, je me suis plutôt concentré
sur moi en te "parlant" mentalement 10 minutes par soir.
Je crois que je vais bien, rien de bien
neuf..
Rien de bien neuf, c'est dans le genre croupi, vieux, et qui pue si on brasse... c'est de la MERDE!!!
Alors... je l'ai envoyé chier.. vraiment...
je suis un maudit.. le plus mauvais ami de ce jeune étudiant en
psycho.
Le diable est ce qui est "noir", et qui guide vers l'entropie, la perte de conscience, le déterminisme, qui est prévisible, scientifiquement observable: c'est aussi la matière et toute la physique, les déterminismes en tout genre et toute la psychologie (programmes compulsifs conditionnées) des troubles de l'enfance, des troubles de la société... l'automate de la conscience égotique..
Le "noir" est indispensable pour que la création se manifeste: ultimemement la matière est "le diable", au même titre que l'encre qui "salit" une feuille blanche (potentiel de création du dessin). L'égo que nous somme est le dessin (notre manifestation "divine" sur le plan de la matière et du féminin), en cela, nous sommes diabolisés par la condition humaine car attachés et dépendants de la matière. Le diable est donc aussi le révélateur physique de ce qui est "autre" que diable: c'est la matrice: c'est le support de la VIE.
Ce qui est divin dans la matière, c'est cette entité qui
fait de la matière un être vivant, qui transcende les lois
de la seule physique et donne un comportement holistique (cohérent
et lié à une intention) qui sort du seul déterminisme
et qui est négatropique dans l'univers et qui transcende follement
les scénarios établis.
Dans les écrits mystiques, ceux de JUNG, REICH et STANISLAV GROF,
voici une évidence: qui est exprimée: l'énergie du
désir de vivre, la "libido" se réfère à la
naissance et à la sensualité, et se détourne en sexualité
qui devient la fixation, le symbole, et donc l'écran qui oblitère
la conscience craintive de naître,
de VIVRE et de vivre la Réalité: Si on veut éviter
"Freud" on risque de reproduire la "grande névrose" de la psychanalyse
en déniant ainsi la part de perversion sexuelle (La frustration
affective et sensuelle est dérivée en besoins sexuels déplacés
et refoulés, donc somatisés, projetés, ou symbolisés)...
Le monde occidental s'est "planté là" entre adhésion
à Freud (la libido devient sexuelle) ou Rejet de Freud (et déni
des problème cristalisés sur la sexualité).
Le monde occidental, névrosé, se soigne avec du FREUD,
ou au contraire, fait du spiritualisme anti-freudien.. sans avoir récupéré
l'énergie sexuelle ni approché l'Amour...
La coupure coeur/sexe demeure.
La séparation demeure...