Alors il fait tout pour être admiré et pour ne pas avoir le temps de se réveler, révéler qui il EST, il rempli toute sa vie d'un "être dans la course". Il ne peut pas arrêter cela: il aurait moins l'entraînement, il perdrait de sa performance...
Il faut travailler plus pour gagner plus de reconnaissance.. toujours
plus..
Si jamais il obtient l'Amour, il est en échec de le recevoir,
fondamentalement, il doit remplacer par de la performance.
Alors il augmente son activité pour augmenter l'admiration des
autres... et consacre encore plus de temps au travail ou à la compétition
(le travail est souvent gérée comme la compétition,
surtout avec le besoin de compétitivité de l'entreprise)
et cet investissement dans la course de la "vie" annule tout partage affectif
faute de temps, un peu comme le deux.. mais ce
n'est pas en séduction et aides qu'il perd son temps, mais en travail
et courses à la performance...
Le 3 fait de la compétition pour écraser l'autre, mais sur le plan de l'Amour, si il touche sa problématique, il exporte sa souffrance à l'autre: il ne fait pas mourir la relation comme le 2, il s'engage dedans, laisse monter l'enjeu en participant à la construction tout en se mentant sur les échecs et les points négatifs de la relation, se met en compétition sur l'idéal de la relation, et met à mort l'Amour brutalement lors de l'échec, par une trahison et un rejet.. ainsi est répété le drame original: l'échec..
La rupture est brutale, par le rejet, et la dynamique associée
est plus la mort par meurtre que par abandon, plus un suicide ou meurtre
que laisser mourir symbolisé par une rupture affective ou un abandon
brutal d'une équipe, d'un conjoint, d'un contrat, d'une boite. Sans
agir cela symboliquement, le type 3 est celui qui peut se dégrader
en psychopathie et en meurtrier si il n'a pas d'exutoire...
Le sport est donc un moyen
d'éviter la pathologie..
L'évolution positive se fait par l'acceptation de perdre,
cela est difficile à cause de l'orgueil et de l'attachement aux
bénéfices apportés par la performance... Il n'est
pas facile de faire renoncer un athlète engagé aux championnats,
en quête de sa médaille du droit à vivre.. qui ne conçoit
pas d'autre moyen d'exister.